
Tous les grands constructeurs, et tous les grands pilotes, ont un jour nourri l’ambition de s’illustrer au Rallye du Maroc. Laisser leur empreinte sur cette épreuve d’anthologie revenait à s’inscrire, pour toujours, dans l’histoire du sport automobile. Le Rallye du Maroc, âpre, difficile et enchanteur à la fois, varié à souhait, n’avait passon pareil pour révéler les talents –de jeunes coureurs locaux y faisaient sensation, n’est-ce pas Jean Deschazeaux ?
La sévérité du terrain et la détermination des concurrents ajoutaient à la glorieuse incertitude de la compétition. Dans les vallées profondes ou vers l’infini de l’horizon, dans le dédale de collines arides ou les labyrinthes de verdure, les machines se trouvaient soumises à un banc d’essai grandeur nature. La chaleur et la générosité de l’accueil, dans les villes et villages traversés, contribuèrent à laisser de cette course un souvenir impérissable.
La sévérité du terrain et la détermination des concurrents ajoutaient à la glorieuse incertitude de la compétition. Dans les vallées profondes ou vers l’infini de l’horizon, dans le dédale de collines arides ou les labyrinthes de verdure, les machines se trouvaient soumises à un banc d’essai grandeur nature. La chaleur et la générosité de l’accueil, dans les villes et villages traversés, contribuèrent à laisser de cette course un souvenir impérissable.
En vérite, le Rallye du Maroc tenait une place à part dans le championnat du monde.
Voilà pourquoi il reste, aujourd’hui encore, ancré dans les coeurs et dans les esprits
Voilà pourquoi il reste, aujourd’hui encore, ancré dans les coeurs et dans les esprits